top of page

Beuvrages : on distribue aussi des conseils beauté aux Restos du cœur

 

 

 

Contrairement à ce que l’on peut imaginer, la distribution alimentaire n’est pas la seule activité des Restos du Cœur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une organisation digne d’une plateforme logistique.

 

Il est gentiment surnommé « le centre Ikéa » au sein de la structure départementale des Restos, « un maximum de choses dans un minimum de place », annonce Bruno Joly, le responsable du centre de Beuvrages. On comprend vite pourquoi.

Chaque mètre carré des locaux mis à disposition par la municipalité est exploité et agencé pour permettre aux 28 bénévoles d’accueillir chaque mercredi après midi les 125 familles bénéficiaires en un minimum de temps.

 

Une activité moins connue appelée « l’aide à la personne ».

Durant leur visite, les bénéficiaires vont effectuer un passage par différents « espaces ». Tout d’abord le « vestiaire adulte » avec un choix de vêtements par tailles, puis c’est l’espace « détente » où une boisson est proposée.

À mi-chemin, un espace appelé « coiffeur ».

C’est là que Raphaël Maséda, a choisi d’exercer différemment son métier de coiffeur et esthéticien.

Il explique : « J’interviens par rendez-vous avec 7 ou 8 personnes avec un modèle afin d’expliquer comment couper ou coiffer ses enfants, comment soigner son visage, comment choisir ses produits (…) je donne des conseils en coiffure et en esthétique afin de rendre les personnes autonomes ».

Trois espaces enfin, sont dédiés aux enfants. Un espace « bébé » où en plus du lait, des petits pots et des couches sont proposés jouets et vêtements jusqu’à 3 ans et un espace « bibliothèque » juste à côté d’un coin lecture.

Une nouveauté pour 2015 au profit des bénéficiaires Bruno Joly présente le dispositif : « Le service consistera à mettre en relation le bénéficiaire avec un homme de droit pour des questions qui relèvent de la justice. Je serai référent pour Beuvrages en lien avec un avocat spécialiste »

 

 

 

                                                                                                                                               (Voix du Nord du 10/03/2015)

 

bottom of page